Promis pour la veille depuis plus de 10 ans, les taxis volants sont toujours au point mort. Certes, des petits hélicoptères électriques ont vus le jours, mais les contraintes aériennes sont toujours là.
C'est vrai, des images de synthèse nous ont montrés ces engins à proximité de nos immeubles, près à nous transporter n'importe où. Mais pour décoller, il faut se propulser avec l'espace nécessaire et pour atterrir il faut aussi de l'espace. Au-delà des nuisances sonores, il y a aussi des obstacles à basse altitude, des oiseaux, des arbres, des lignes électriques.
Vendus tous les ans pour l'année à suivre, le taxi volant trouve son exploitation réduite à peau de chagrin.
Alors, à quoi ça sert ? Ça sert à faire croire qu'on innove et qu'on avance très vite. Ça sert aux pays auteurs de propagande à prétendre à un leadership même si c'est avec du vent. Ça sert à faire de l'argent.
Voici donc l'usine chinoise de fabrication de voitures volantes et ces images de synthèse si belles. Mais enfin, on vient de nous faire le coup. Notre espace aérien n'a pas changé. Les contraintes au vol de voitures, de patinettes, de bicyclettes sont toujours incontournables.
À part une utilisation dans le désert sur une distance limitée, peut-être par l'armée, comme Starship pour Mars, nous n'irons jamais à Paris en Twingo volante.

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