Bonsoir,
Ayant des doutes sur l identité de mon géniteur depuis de nombreuses années, je suis surprise de constater que je n ai quasiment aucun droit sur la recherche en paternité.
Effectivement, je peux demander un test ADN par l intermédiaire d un avocat, accordé ou non par un juge.
Ça fait beaucoup d intermédiaire pour un fait qui ne concerne que moi et dont je suis la principale victime.
En l occurrence, il s agit, dans mon cas, de vérifier la présence ou non d un lien génétique avec l homme qui m a reconnue à la naissance.
Si la vérité est dissimulée, elle transpire toujours et on ne peut pas rester avec de telles interrogations.
La recherche en cas de doute me paraît tout à fait légitime. Le tabou a la peau dure.