Pour une fois l'idée ne vient pas de moi mais d'un de mes anciens supérieurs hiérarchiques professionnels.
Il s'étonnait de voir des contrevenants à la SNCF être verbaliser presqu' à hauteur de la valeur d'un pass Navigo. Selon lui (et selon moi), plutôt que verbaliser, il était plus judicieux, plus humain, de vendre au contrevenant directement un pass navigo.
C'est toute une philosophie. Se servir de l'argent comme moyen de réprimande au point d'en oublier son rôle progressiste et moteur.
On pourrait majorer légèrement le prix du pass pour sanctionner l'infraction mais sans toute fois la perpétuer.
À mediter
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire